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Spectacles vivants

Nous  aimons mêler les disciplines artistiques et les différentes formes d'écritures (cinéma, danse, poésie, musique etc.). Dans cette dynamique, nous coproduisons des spectacles vivants.

Spetacles vivants

En cours de production 2021

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Cie I wanna be & les ouvriers de l'image présentent

 

Le chant du hareng 

Une création de Lyli Gauthier, Margaux Meurisse et Julien Masson

 

Un spectacle vivant qui mêle le cinéma documentaire
et  la danse à travers l’usage des arts numériques

Aurélia GONTHIER - Corps 1.png

Et si une vibration pouvait vous régénérer sans le moindre effort à fournir ? Si un son avait la capacité de vous délester de vos tourments dans une quasi immédiateté, vous faire atteindre le bonheur absolu, seriez-vous tenté(e) par l’expérience ?

Un sonothérapeute, une neurogénéticienne et un ingénieur, après plusieurs années de collaboration ont développé ce son qui peut changer le monde.

Sur le plateau avec trois danseurs, sur les écrans avec les témoignages, ou encore grâce à une spatialisation du son, ce spectacle vivant qui mêle le cinéma documentaire et la danse vous conduit au coeur de leur découverte et vous partage leur expérimentation.

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Bus 21 & les ouvriers de l'image présentent

Les souvenirs du dimanche

une veillée poétique à deux voix

Une création de Margaux Meurisse et Benjamin Fauges

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« Les dimanches on s’écrira ! On s’écrira des souvenirs… »


Comme la promesse d’un voyage poétique sans cesse renouvelé. Ensemble, Ben et Margaux ont imaginé un lieu, une île, secouée par les flots, gardienne de nos mémoires. Que se passe-t-il si, en déposant un souvenir, nous repartons avec celui d’un.e autre ? Cette veillée s’ouvre, bercée par les murmures de la mer, sur un homme qui se réveille de cette expérience : il a cru avoir rêvé d’îles, de grottes, de souvenirs.
 C’est alors que les voix se mêlent et se souviennent ensemble, avec vous, des baisers de l’hiver, des caresses d’autrefois, des matins en retard, des amours volubiles, du sauvage qui rugit, d’une horloge qui pâlit…


« Ça m’étonne ces mots qui viennent et que je t’envoie,


Ça frissonne ces mots qui aiment le goût de ta voix. »

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